Sa tenue a lieu quelques mois après la formation des formateurs référents organisée par la direction du développement durable. Pour le directeur général de la Setrag, Christian Magni, « l’objectif de ce partenariat étant le déploiement des actions au sein de la Setrag et, au niveau des communautés en renforçant leurs capacités et connaissances sur la question des violences basées sur le genre.
Ceci au travers des actions de mobilisation communautaires axées sur la prévention, la sensibilisation, la transmission des informations sur la typologie, les facteurs, la communication des mécanismes de plainte pour les victimes ».
Et d’ajouter que l’expertise sollicité consiste à prévenir des discriminations de tous genres et constitue une arme indispensable à l’accompagnement des managers, des salariés et des prestataires de son entreprise pour un meilleur vivre ensemble. Intervenant à son tour, la présidente de l’Observatoire pour la Défense des Droits de la Femme et de la Parité, Honorine Nzet Biteghé s’est dite honorée pour le choix porté sur sa structure, laquelle lutte contre toutes discriminations de ce genre. Pour elle, il s’agit avant tout de défendre les droits humains.
La question VBG est un problème de société et mondiale et demeure d’actualité. Au niveau du gouvernement gabonais, on assiste à une mobilisation générale par des affichages des posters, bien qu’en anglais parlant de « Elle et Lui ».Dans le milieu professionnel, les deux êtres doivent travailler ensemble pour les objectifs de la société. Dans le milieu professionnel, on doit tenir compte d’un seul critère, celui de la compétence et non du genre.
Le but étant de rendre paisible la société à laquelle nous appartenons. Face aux violences basées sur le genre (VBG), l’ODEFPA privilégie l’information pour éviter les discriminations. Il faut rappeler que cette signature est en phase avec l’objectif de la feuille de route RSE 2018-2023 du groupe Eramet don Setrag est la filiale.